jeudi 15 mars 2012

Ces étés qui passent à l'envers

Une note écrite en plein milieu d'un de ces étés argentins qui me semblent toujours passer à l'envers, même cinq ans plus tard:

"Je viens de terminer les lettres de Joyce: c’est comme s’il était mort de nouveau. La dernière était en allemand, destinée au maire de Zurich pour le remercier pour son accueil.

Tout d’un coup, quelque chose m’a amené en hiver, là où la Limmatt se jette dans le lac, juste de l’autre côté du pont, en face de Bellevue."