mardi 29 mars 2016

Celui qui est trop loin derrière son texte

Le truc qui ne va pas dans le Bergstamm, c'est que je n'ose pas coller au Walter d'alors, pas le défendre dans ce qu'il vivait.

Au contraire, je me moque de lui depuis le Walter d'aujourd'hui: comme je ne le prends pas au sérieux, le lecteur non plus. Et le lecteur s'ennuie. 


Après la distance du formalisme, je me suis caché dans la distance de l’ironie: ça dilue, ça dilue, l'anémie de celui qui est trop loin derrière son texte.