En regardant la main de Jacquie avec ses bagues et ses ongles d'un beau rouge, je me suis dit que la mort était banale: il y a cette main et puis elle n'est plus là.
Après, tout va dépendre de comment on construit l'absence: il y a la place qui est vide ou la place qui est laissée, la mort qui entretien la douleur ou la mort qui s'installe en douceur, proche et familière.