lundi 10 septembre 2012

Deux pesos entre deux pêches

Une note, de 2009:

"Je viens de poser deux pesos entre deux pêches qui étaient déjà là, à côté de la tête d’un type qui dormait dans la rue. J’ai eu peur qu’il se réveille et qu’il m’agresse en croyant que je lui voulais du mal. Je crois que j’ai bien senti ce qui se passait en lui, c’est-à-dire en moi."