vendredi 4 juillet 2014

A partir de ce qui est sur la page

Une note, de 2010:

"Voir, par exemple, que je suis en train de fatiguer et que mon esprit s’éloigne de la page à pas de loup... Que je commence à imaginer ce que je pourrais écrire au lieu de l’écrire vraiment et que ce que j’imagine, forcément, a une bien meilleure gueule que ce qui se retrouve sur la page en attendant. Ne fonctionner qu’à partir de ce qui est effectivement sur la page, pas de ce qui pourrait y être."