En sortant du subte A, j’ai vu toutes les antennes des télévisions devant la cathédrale, juste de l’autre côté de la place de Mai. Je dois dire que j’ai hésité à aller faire un tour: c’est pas tous les jours qu’on nomme un pape argentin!
Quand j’ai finalement pris à gauche sur les vieux pavés de Defensa – je n’allais quand même pas arriver en retard au Furaibo pour chanter le Shoshinge! –, je me suis dit qu’il fallait vraiment que je cherche le nom de cette église dont j’admire les sculptures à chaque fois que je fais ce bout chemin entre les bâtiments de l’AFIP, l’agence fédérale des impôts.
Un petit coup d’œil sur Google en préparant ce post m’apprend que ce Christ et ces apôtres en équilibre à contre-jour surplombent ni plus ni moins, je vous le donne en mille, que le couvent de San Francisco! C’est vérifié: tous les chemins, même ceux du bout du monde, mènent bel et bien à Rome!