Pour saluer le lever du soleil dans la tiédeur de ce matin d’été, je chante le Shoshinge, avec Lucie dans le creux de mon bras et mon iPod dans l’autre main – non, je ne le sais pas encore par cœur –, au bord du lac du Parque Centenario en regardant le sommet des tours se peindre en jaune jusqu’à ce que les premiers rayons nous arrivent dans les yeux et puis sur les vaguelettes poussées par la brise. De temps en temps, un petit chat gris vient passer sa queue contre mes mollets