Pour atteindre le palace depuis le village, il y a la route étroite, au fond du dernier étranglement le portail illuminé.
Un sentier, aussi, ses épingles à cheveux, son sel et sa glace, son gravier, les stations de ses petits bancs. Quelques marches au début, quelques marches à la fin.
Il ne serait pas très prudent, non, du tout, même si le raccourci a l’air discret, de couper à travers les mélèzes. Beaucoup d’aiguilles sur le sol, beaucoup de falaises dans la pente, et, bien entendu, la neige sur tout ça.
Reste l’ascenseur.