En réponse à mon post, relayé par Twitter, sur la souffrance qui fait penser, Rabanal, de manière tout à fait inattendue, confirme:
– Ah, oui.
Par retour de tweet, je saute sur l’occasion pour lui parler de ma traduction de son Un día perfecto, traduction terminée depuis belle lurette, mais en rade dans un coin de mon disque dur devant le peu d’entrain montré par Irène à sa promotion. Et moi qui croyais naïvement qu’une agente, ça allait m’économiser du boulot...
Mais j’ai dû être un peu leste, parce que pas de réponse. J’en connais un qui dirait que c’est encore un coup de ma lune en bélier et qui me conseillerait de prendre soigneusement mes gouttes de Bach... Une seule essence, cette fois-ci: Impatience, vous l’aurez deviné, six fois par jour.
Heureusement, tout prend meilleure tournure dès le lendemain matin. Autre tweet en réponse de Rabanal avec son adresse mail: il est d’accord de lire ma traduction! Envoi aussi sec et, au retour du Furaibo, long mail très émouvant de sa part: il s’est mis à lire, il trouve que c’est du bon travail et il me remercie pour ma gestion de la chose. Un jour parfait, c’est le moins qu’on puisse dire!