L’autoroute est censée faire gagner du temps. Des bouchons aux péages font perdre du temps. Il suffit donc, les Argentins sont des gens pragmatiques, d’ouvrir les barrières pour désengorger le tout et l’affaire est réglée.
Alors, dès que les queues dépassent quatre ou cinq véhicules, les conducteurs avisés se mettent à jouer du klaxon et, la plupart du temps, au grand dam d’un être épris de justice et d’équité dans mon genre, les barrières ne tardent pas à se lever les unes après les autres au milieu du tintamarre général.