– Là, tu vas te coucher?
– Non, je vais nager. C’est pour ça que je me dézaque.
– Ça semble logique.
Éclats de rire agonisants.
Quelques minutes plus tard, sur l’oreiller:
– Je suis ta noyade.
– Ma naïade!
Éclats de rire mous, au bord du ronflement.