Une note, de 1999:
"Le jour qui s’arrête au soir, aucune suite, rien de plus. Fin de la vie avec la fin de la lumière, vide total, sans rémission, vide qui mange le corps de l’intérieur, qui glisse sous la peau des fins d’après-midi d’hiver, de l’obscurité précoce, le froid déjà dessiné dans les nuages qui forment une couche vivante et terne à la fois devant la mort qui s’approche."