Étant donné que notre chère Lucie se réveille aux aurores à cause du jet-lag, j’en profite pour aller chanter un Shoshinge au bord du lac en regardant le soleil se lever sur le parc Centenario, mon adorable fille serrée tout contre moi et mon iPod à la main pour lire ce soutra que j’ai pas encore été fichu d’apprendre par cœur.
Après la révérence d’usage, on part à la chasse aux croissants dans un des cafés du quartier, à chaque jour un différent, histoire de récapituler ces années d’écriture et de prendre le temps pour leur dire au revoir: Los Cantábricos, El Coleccionista, Las Violetas, Mundo Argentino et, bien sûr, naturellement, même pas besoin de la mentionner: La Tolva.