Au détour d’un téléphone avec Jean-Luc, une phrase m’est revenue de très très loin: "Il n’y a que le doute qui dure". Impossible de me rappeler d’où je la sortais.
– Gustavo?
– Non, pas celle-ci. Mais ça aurait pu...
Heureusement, Google m’a rafraichi la mémoire: il s’agit ni plus ni moins de la devise d’Archipel, la revue littéraire où j’avais fait mes premières armes dans l’édition.
Le doute a une fin: ce n’est pas la certitude, c’est l’absence de doute. Voilà comment Gustavo – le revoilà! – définit la foi.