Une note, de 2010:
"Quand j’ai fait le parallèle avec la calligraphie, Gustavo a insisté sur la préparation, sur le temps que mettait le calligraphe à broyer le charbon pour préparer l’encre, sur la concentration qu’il mettait dans cette action qui n’avait en définitive plus de but, même pas celui de préparer l’encre, cette action qui lui permettait de mettre petit à petit sa pensée à l’écart et de libérer le geste, ce geste dont il avait une vague idée mais qui allait jaillir de lui-même."