Une note, de 2010:
"Cet espace devant la maison de Rubén qui était tous les espaces, qui était toutes les banlieues sans forme, tous les paysages sans relief, tous les lieux de passage. Cet espace qui ne m'appelait pas par ce qu'il me montrait, mais qui m'appelait par sa présence, qui m'appelait par ma présence à lui. Cet espace qui me renvoyait en moi parce qu'il ne me proposait rien, parce qu'il m'obligeait à faire tout l'effort pour m'ouvrir à lui, cet espace qui me faisait de la place."