"Hier soir, défilé du bicentenaire et aussi des émotions fortes, une manière de montrer cette histoire qui me touchait, une manière engagée, une manière impliquée, énergique. Je me suis senti très en lien avec cette manière de voir la vie, avec cette manière de voir l’Histoire. Je suis peut-être encore plus Argentin que ce que je croyais. Une proximité dont je ne sais pas si elle s’est construite ou si elle m’a été révélée petit à petit – une fois de plus, je pense spontanément à la construction, mais je sens, derrière, encore loin derrière, la révélation, le dévoilement. Je me suis senti proche de ces pionniers, de ces immigrants. J’ai l’impression que j’ai dû vivre tout ça, c’est pas possible autrement. Et puis il y a aussi cette finca que voulaient s’acheter les personnages de Diamantendiebe."