Une note, de 2010:
"Sur le net, je me suis baladé un peu sur les archives de L’Hebdo et j’ai trouvé certains de mes vieux articles pas si mal que ça – mais je me rends compte que je l’ai déjà écrit hier…
S’y croire permet de donner une forme à ce qu’on fait, une forme pleine, dans le présent, mais j’ai le sentiment que c’est aussi ce qui nous met à distance de tout le reste.
Trouver un équilibre entre cette production dans le présent, où la confiance est là, et cette ouverture qui va plus loin que ce présent, qui sait que ce présent n’est qu’une entrée dans tout le reste, la seule entrée, en fait."