Ce weekend passé dans l’ancien chalet de Tabachnik au fond du Val d’Hérens m’a donné l’idée qui me manquait pour mettre la dernière main à mon Sirius.
C’est dans ce chalet, entre les livres ésotériques et les brouillons de partitions manuscrites, que tout a commencé.
C’est là que, logiquement, je devais tendre l’oreille pour que mon roman puisse enfin découvrir la forme qui a toujours été la sienne.