Une note, de 2008:
"Là, je viens d’avoir Maria Isabel au téléphone, la vieille dame qui m’avait "prêté" – je mets les guillemets parce que je ne suis pas sûr qu’elle pense vraiment avoir ce livre en retour, ni qu’elle le veuille vraiment – le livre de Porchia. Quand je lui ai dit que j’étais sur le point d’aller faire une retraite bouddhiste, elle m’a dit que c’était vraiment un heureux hasard, parce qu’elle venait, le matin même, de fouiller dans sa bibliothèque et d’en tirer des livres sur le bouddhisme zen qu'elle allait déposer pour moi au Cantábricos, le café où on s'était rencontré."