Une note, de 2010:
"Sentir, aussi, l'état dans lequel je suis quand j'arrête d'écrire, cette énergie qui m'habite, cette énergie qui n'est plus vraiment une énergie hyperactive, euphorique et superficielle, qui est une énergie centrale, du genre de celle que je peux sentir en sortant de la piscine ou après être allé courir, une énergie de ce type, mais mentale, morale, quelque chose dont je me sens plein, quelque chose que j'ai activé à travers ma concentration dans l'écriture de ce monde à l'intérieur de moi."