J’ai passé la semaine à hurler le manuscrit du Sirius à travers notre bureau avant de l’envoyer à Giuseppe pour qu’Emmanuelle puisse faire les dernières corrections.
Non seulement – merci Gustave! – c’est une arme radicale contre les coquilles, les phrases boiteuses et les répétitions, mais ça fait surtout circuler l’énergie du texte à travers le corps, ça remet en mouvement tout ce qui stagnait après ces mois, après ces années assis devant un écran à ne bouger que le bout des doigts.
Écrire, ça devrait se faire comme ça, avec la voix.