Une note, de 2010:
"Si je réagis aussi fort à toutes mes marques de dépendance, c'est bien pour ça, c'est bien parce que je sais que c'est par là que je souffre, que c'est depuis ma dépendance, que c'est depuis mon attachement que je souffre, parce que dans l'attachement, il y a la perte, et non seulement la perte mais aussi le pouvoir de ce à quoi on est attaché, le pouvoir sur soi, le pouvoir sur moi.
Une des manières de me détacher est de cesser de vouloir ce que je veux de l'autre. L'apport de l'autre sera toujours provisoire, sera toujours partiel. Pour apprendre à vivre avec l'autre, avec son apport provisoire et partiel, je dois apprendre à vivre sans l'autre, sans mon besoin de l'autre."