L’autre jour, j’avais assis Ineo sur le lit de Dellon. Il s’était d’abord amusé avec sa main posée sur son ventre et puis avec la barrière du lit.
– Tu vois c’est tante Dellon.
Elle avait essayé d’ouvrir un œil, de bouger un peu sa main, et puis elle avait fait une grimace à cause des petits ongles sur son poignet.
La vie qui arrive, la vie qui s’en va, beaucoup de grands sourires et des petits cris, un visage qui ne sait plus bouger.
Une couverture violette entre les deux et puis, bien sûr, les vignes d’automne, le lac, les montagnes et le ciel, déjà grand ouvert.