– Quand vous êtes à genoux en seiza, il faut observer votre douleur, la ressentir dans sa vraie dimension, sa vraie présence, mais ne pas vous mettre à en rajouter avec votre petit cinéma habituel: je vais plus jamais pouvoir me relever! Je vais rester paralytique! Encore une seconde et je m’évanouis! La douleur est là. La souffrance, c’est vous qui la construisez.