L’homme était caché au fond du jardin
Je tourne la page, assis dans ma véranda
Il mit ses gants, tendit un câble entre ses poings
Fin du chapitre : une gorgée de thé
Il traversa le soir vers le pavillon de campagne
Je pose ma tasse, allume la lumière, tourne la page
Une tête dépassait du fauteuil en osier
Sommeil, sommeil, sommeil : dernier chapitre
Les graviers de la terrasse roulaient sous ses pieds
Mon fauteuil grince autour de moi
Il poussa sans un bruit la porte de la véranda
Quelque chose de froid sur mon cou