Le sucre et les réseaux sociaux: la mort de mon corps et la mort de mon esprit par trop de plaisir immédiat.
C'est l'immédiat qui me tue: cette tension désespérée vers l'ici et maintenant plutôt que l'ici et maintenant.
Volontarisme épuisant et paresseux qui se nourrit de ma fatigue et qui la multiplie.