Une note, de 2012:
"Ce matin, Rodolfo nous a conseillé de courir dans l’herbe du Parque Centenario, histoire d’économiser un peu nos genoux. Pendant quelques secondes, j’ai senti que je n’avais besoin de rien: j’étais à la fois ce ciel avec ses petits nuages, cette pelouse tendre, ce lac et ces arbres à la fois dignes et débraillés."