Au milieu la place centrale d’Evora, un téléphone public se met à sonner. Les gens s’arrêtent, le regardent un moment, continuent leur chemin.
Je fais demi-tour avec Lucie et, de ma douce voix mélodieuse d’attaché de presse:
– Oui, allô, Pierre Fankhauser.
Personne au bout du fil.
– Allô? Allô?
Je raccroche et, quelques pas plus loin, le téléphone se remet à sonner.