La photo que Philippe a prise de Buenos Aires me fend le cœur: exactement le genre de vue qu’on avait depuis le toit de notre immeuble d’Acoyte, quand on prenait l’ascenseur jusqu’au huitième étage puis l’escalier jusqu’au neuvième pour aller étendre le linge.
Lire les mots qu’il va mettre sur la ville de mes rêves m’aidera sans doute à trouver enfin une manière de l’écrire. J’ai bon espoir.