Une note, de 2007:
"C’est par les bruits que je peux me laisser aller au monde, parce qu’ils ne sont pas équivoques, parce qu’ils ne sont pas séparés, parce que je dois y mettre du mien plus consciemment que dans ma vision: donc, quand je mets ma conscience en retrait, je m’éparpille le long de toutes ces pistes sonores qui se rassemblent jusque dans mon ventre."